Hermine Lefèbvre avait chanté les louanges de Meute de Karine Rennberg, et, après avoir adoré la quadralogie Le Clan Bennett – un récit rempli d’émotion, d’affection et de loups-garous – j’étais intriguée par un roman dont le titre était « Meute », et dont on m’avait dit qu’il tournait autour de loups-garous. Ce qui m’a fait aimer les loups-garous, c’est justement l’aspect « Meute » : le fait de former une communauté qui n’est pas liée par le sang ou la romance, mais par une profonde… Continuer la lecture